Avec la sortie de CS2, les services de mise en relation tiers comme la Pro League de FACEIT étaient censés perdre de leur pertinence. Pourtant, avec le nombre de problèmes de serveur et de tricheurs qui sévissent dans le mode Premier, le contenu FPL semble être plus fort que jamais.
Owen « smooya » Butterfield a démontré à quel point il peut être agréable de regarder les flux FPL avec un double chargeur de couteau malade lors du premier coup de pistolet sur Mirage.
Non seulement Smooya a réussi deux attaques au couteau, mais c’est lors d’un 1v3 pour remporter le tour de pistolet très important, qui a une importance encore plus démesurée dans le nouveau système MR12.
Si vous ne voulez pas vous faire exploser dans CS2, vous devez au moins faire tomber la bombe du côté T, ou empêcher la bombe de tomber du côté CT. Quoi qu’il en soit, cela mettra l’argent dans un état suffisamment raisonnable pour que votre équipe puisse forcer l’achat au deuxième tour, même après une perte. La victoire au pistolet donnera à l’équipe gagnante un avantage extrême, car elle pourrait convertir trois tours du coup financier que l’opposition subira, leur garantissant la moitié des tours nécessaires pour au moins égaliser la moitié, ce qui est extrêmement impactant dans le CS2 plus court. allumettes.
CS intelligent les fans ne sont pas satisfaits de l’influence du pistolet. Il n’illustre précisément aucun des aspects qui font de Counter-Strike génial, comme le jeu de tir précis ou l’utilisation intelligente d’utilitaires. Au lieu de cela, il favorise les rushs stupides et les inondations de sites avec peu ou pas d’utilité, tout le monde sprintant tout en spammant ses Glocks, priant pour un tir à la tête.
Si Valve insiste sur MR12, l’économie du jeu doit être peaufinée. Dans l’état actuel des choses, des jeux comme celui de Smooya garantissent essentiellement des AWP précoces ou une puissance de feu écrasante pour les gagnants. Avoir un quart des tours du jeu effectivement décidé par un CS fondamental inférieur à la moyenne est une recette pour l’ennui, pas pour le battage médiatique.